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avec la pandémie, « moins d’un couple sur deux célèbre cette fête, le taux le plus faible en 25 ans »

avec la pandémie, "moins d'un couple sur deux célèbre cette fête, le taux le plus faible en 25 ans"

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avec la pandémie, « moins d’un couple sur deux célèbre cette fête, le taux le plus faible en 25 ans »

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« C’est la première fois qu’on a un taux de participation aussi bas à ‘la fête des amoureux' », a expliqué dimanche 14 février sur franceinfo François Kraus, directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l’Ifop, auteur de l’enquête « Les Français et la Saint-Valentin à l’heure du Covid-19″. Il affirme que ‘ »moins d’un couple sur deux va fêter la Saint-Valentin, ce qui est le taux le plus faible que l’on a pu observer depuis un quart de siècle ».
« Ce qui est intéressant, poursuit le directeur de pôle à l’Ifop, c’est que malgré les critiques sur le côté commercial ou artificiel de cette fête, on avait (jusqu’à l’an passé) un taux de participation assez stable des couples, autour de 60 %. Et là, on voit que les conditions notamment de couvre-feu généralisé, de fermeture des bars, des restaurants ont porté un mal à ce rituel de l’amour conjugal… qui tient malgré tout la route », indique François Kraus.

Et cet intérêt pour la Saint-Valentin est notamment marqué chez les couples les plus jeunes : « Ils souffrent beaucoup plus que la moyenne de la fermeture des lieux de sociabilité nocturne, ils saisissent un peu la moindre occasion pour se retrouver, entre amis ou dans le couple. Donc, bien sûr dans les conditions actuelles, avec l’usure psychologique généralisée qu’on observe depuis le mois d’octobre-novembre en France, ce genre de moment permet un petit peu de sortir de l’ordinaire, de la routine un peu sinistre » qu’on connaît, poursuit le directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l’Ifop.
Une célébration qui néanmoins ne concerne pas tous les couples, selon leurs milieux sociaux et leur localisation géographique : « Depuis au moins une bonne décennie, la Saint-Valentin est assez dénigrée dans les milieux les plus aisés et cultivés, où on trouve (que cette fête) est quelque chose de trop commercial, de trop artificiel, détaille François Kraus. On a donc une plus forte désaffection dans les milieux CSP+, diplômés, urbains, citadins.

Dans les milieux plus populaires, ruraux notamment, on continue à la fêter beaucoup plus
François Kraus
à franceinfo

« Ce sont des milieux qui ont fait ce genre de rite dans l’intimité, pas forcément dans des restaurants, au théâtre ou au cinéma. De fait, dans le contexte actuel, ces couples sont moins affectés par la fermeture des restaurants ou des lieux de vie à dimension culturelle », souligne le directeur du pôle.
Côté cadeaux, « à peu près la moitié des personnes qui fêtent la Saint-Valentin offrent un cadeau, indique François Kraus. Le plus répandu reste le bouquet de fleurs, mais ça peut être aussi des choses comme de la lingerie, des huiles de massage, des cadeaux à dimension érotique, qui servent un peu à casser la routine ou qui s’inscrivent vraiment dans l’intimité du couple », conclut le directeur du pôle « Genre, sexualités et santé sexuelle » de l’Ifop.

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